Les conditions climatiques d’automne, et l’hiver relativement doux ont été propices à la survie de l’inoculum. Par conséquent, une vigilance accrue était demandée pour les pommes terre laissées en terre ou dans la gestion des tas de déchets, principaux lieux de conservation du mildiou.

Nous demandons aux producteurs concernés d’assurer la gestion des repousses et de détruire les tas de déchets (bâchage couvrant l’intégralité du tas, chaux vive, couverture selon les cas) afin d’éviter la prolifération dans les champs cultivés, la pression sanitaire étant déjà relativement élevée.